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Examine les conséquences de l’usage des ISRS chez les Canadiennes et les facteurs systémiques qui ont contribué à la généralisation de leur usage. pour utiliser ce lien.
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Notes:
Critique, Le Réseau Printemps 2006 : Prozac, Paxil, Zoloft, Effexor, Celexa, Remeron et Luvox. La majorité des Canadiennes et des Canadiens connaît l’existence de cette nouvelle génération de médicaments qu’on désigne par le terme d’inhibiteurs spécifiques du recaptage de la sérotonine (ISRS) et que les médecins prescrivent pour traiter la dépression et d’autres troubles comme l’anxiété, la panique, les trouble obsessionnel-compulsif, le « trouble dysphorique prémenstruel » et l’« anxiété sociale ». Depuis l’entrée en scène, en 1988, du premier médicament-vedette appartenant à la classe des ISRS – le Prozac – les ISRS sont devenus l’un des produits pharmaceutiques les plus couramment prescrits au Canada et ailleurs dans le monde. Ce document examine les conséquences de l’usage des ISRS chez les Canadiennes et les facteurs systémiques qui ont contribué à la généralisation de leur usage. Également disponible en ligne (en format PDF) à www.whp-apsf.ca/pdf/SSRIsFR.pdf.
Organisme:
Les Centres d'excellence pour la santé des femmes
Action pour la protection de la santé des femmes