Cet article élabore sur de l'information conflictuelle qui circule concernant l’innocuité et les bienfaits des antidépresseurs de la catégorie des inhibiteurs spécifiques du recaptage de la sérotonine (ISRS) (comme Prozac, Paxil et Effexor), administrés pendant la grossesse.
Dans le cadre d’un webinaire en octobre dernier, Barbara Mintzes, Ph. D., s’est entretenue de l’histoire des médicaments d’ordonnance dans les cas de grossesse et du débat actuel lié à cette question.
Met en doute les fondements scientifiques motivant l'usage des ISRS. Élabore au sujet des hauts niveaux d'ordonnances, les préoccupations liées à l'innocuité de ces médicaments, et les questions d'accoutumance.
Examine des enjeux de l’utilisation des inhibiteurs spécifiques du recaptage de la sérotonine, notamment les raisons pour leur emploi généralisé ainsi que leurs effets et propose des solutions de rechange.
Examine les conséquences de l’usage des ISRS chez les Canadiennes et les facteurs systémiques qui ont contribué à la généralisation de leur usage. pour utiliser ce lien.
Critique, Le Réseau Printemps 2006 : Prozac, Paxil, Zoloft, Effexor, Celexa, Remeron et Luvox. La majorité des Canadiennes et des Canadiens connaît l’existence de cette nouvelle génération de médicaments qu’on désigne par le terme d’inhibiteurs spécifiques du recaptage de la sérotonine (ISRS) et que les médecins prescrivent pour traiter la dépression et d’autres troubles comme l’anxiété, la panique, les trouble obsessionnel-compulsif, le « trouble dysphorique prémenstruel » et l’« anxiété sociale ». Depuis l’entrée en scène, en 1988, du premier médicament-vedette appartenant à la classe des ISRS – le Prozac – les ISRS sont devenus l’un des produits pharmaceutiques les plus couramment prescrits au Canada et ailleurs dans le monde. Ce document examine les conséquences de l’usage des ISRS chez les Canadiennes et les facteurs systémiques qui ont contribué à la généralisation de leur usage. Également disponible en ligne (en format PDF) à www.whp-apsf.ca/pdf/SSRIsFR.pdf.