Contiendra des recommandations au sujet de l'utilisation du vaccin anti-VPH. Renfermera également des commentaires concernant les importantes lacunes de la recherche sur l'utilisation optimale de ce vaccin au Canada. D'autres éléments du cadre, tels la rentabilité, l'acceptabilité des programmes d'immunisation et la faisabilité, seront abordés par le Comité canadien sur l'immunisation.
Human papillomavirus, vaccines and women's health: questions and cautions
Auteur/Rédactrice:
Abby Lippman, Ph.D.
Ryan Melnychuk, Ph.D.
Carolyn Shimmin, B.J.
Madeline Boscoe, IA., DU.
Cet article rédigé par des auteures du Réseau canadien pour la santé des femmes expose en détails plusieurs préoccupations en matière d’innocuité concernant le vaccin Gardasil, lequel est actuellement offert gratuitement aux jeunes filles canadiennes, âgées pour la plupart de 9 à 12 ans. Ce vaccin est utilisé pour prévenir certaines formes du virus du papillome humain (VPH) qui peut causer le cancer du col. Les auteurs résument certaines des principales questions et préoccupations auxquelles il faut répondre avant d’appliquer un programme général de vaccination contre le VPH.
La Société canadienne du cancer considére le vaccin contre le virus du papillome humain (VPH) comme un complément au dépistage du cancer du col de l’utérus, et non comme un substitut. La Société est d’avis qu’il devrait être rapidement et facilement accessible à la population, à prix abordable.
Le Sommaire des motifs de décision (SMD) de Santé Canada expose les motifs d'ordre scientifique et réglementaire sur lesquels reposent le décision de Santé Canada concernant la réglementation de Gardasil, le vaccin contre l'nfection à Papillomavirus.
Reaction du Réseau québécois d’action pour la santé des femmes (RQASF) au l’implantation du programme de vaccination contre le virus du papillome humain (VHP) au Québec. Compte tenu de l’absence d’épidémie et de l’absence d’urgence, un moratoire permettra de répondre aux nombreuses questions restées en suspens et de prendre une décision dans le meilleur intérêt du public.
La FQPN a réagit à l’annonce d’une campagne de vaccination contre le virus du papillome humain (VPH) au Québec dès la rentrée scolaire 2008 via une lettre d’opinion sur le sujet. La FQPN remet en question la priorité accordée à une telle campagne alors que le dépistage par test de Pap s’avère toujours un des moyens les plus complets et efficaces en matière de prévention du cancer du col de l’utérus.
HPV, vaccines, and gender: Policy considerations June 25, 2007
Résume les données sur les vaccins contre le virus du papillome humain – leur efficacité, leur innocuité, leur place quant aux soins liés à la santé des femmes – et les recherches sur les implications que comporte la création de programmes de vaccination se poursuivent.
Remettent en question la recommandation du Comité consultatif national de l'immunisation que toutes les filles agées de 9 à 13 ans soient vaccinées au Gardasil. Souligne le fait qu'il existe jusqu'à présent peu de données sur l'efficacité et l'innocuité du vaccin (notamment pour les groupes d'âges moins élevés ciblés par le CCNI).